Mardi 30 septembre 2008 à 23:39




Parlons du manga le saviez-vous:  les français sont les deuxième

consommateur au monde avec 10 million de vende en 2007.

Ma sœur et moi ont avance bien dans ce domaine ont

a pas moins de 336 manga, je sais c'est pas grand choses mais

ont fait tout pour qu'elle grandisse peu a peu.

Je voudrais bien allez à un café manga il y en n'a un a paris mais moi

qui suis en Aquitaine ça fait loin, j'adore l'auteur KAORI YUKI,

j'adore c'est dessins et les histoires sont trop cool.

Enfin parlons manga.


Quelques notions

Le dessinateur de manga est appelé mangaka. Il est soumis à des rythmes de parution très rapides, et ne bénéficie pas toujours d'une totale liberté sur son œuvre, selon la réception auprès du public. Si le manga connaît un fort succès, l'auteur devra prolonger son histoire, même s'il voulait la terminer. À l'inverse, certaines œuvres peu connues ne verront pas leur suite et fin publiées.

Les manga se lisent souvent dans le sens inverse des bandes dessinées occidentales : de droite à gauche ce qui correspond au sens de lecture japonais. Cela amène une certaine confusion puisque la lecture des mots se fait alors dans le sens inverse de celui des cases (ce qui n'est pas le cas au Japon). Introduits en France en 1978 avec la revue Le cri qui tue, les manga ne sont publiés dans ce sens en Occident que depuis 1995 environ. Toutefois, les éditeurs français ne se plient pas systématiquement à cette spécificité. Certains éditeurs choisissent alors de simplement retourner les images, ce qui occasionne des incohérences douteuses (un droitier qui devient gaucher, un coup porté au cœur qui perd son sens avec une image inversée ou encore un salut nazi effectué du bras gauche dans l'histoire des 3 adolf). D'autres adaptent entièrement les ouvrages en retournant seulement certaines images, changeant la mise en page et en redessinant certains éléments graphiques, ce qui a pour mérite de faire correspondre la forme des phylactères avec l'horizontalité des systèmes d'écriture occidentaux ( casterman notamment, dans sa collection Écritures), mais génère toutefois un surcoût significatif.
La plupart des éditeurs ont actuellement adopté le sens de lecture japonais, dans un but d'économie et de respect de l'œuvre. Autrefois cela les aurait exposé à se couper d'un lectorat plus large que les habitués du genre. Cependant, la vague de démocratisation qu'a connu le manga en France a fait que la plupart des lecteurs préfèrent désormais de loin le sens de lecture japonais.
Ailleurs qu'en France, et notamment aux États-Unis, l'adaptation se plie généralement au sens de lecture occidental.

Diffusion

À la différence de l'Europe et des États-Unis, le marché de la bande dessinée au Japon n'est pas un marché de niche mais bel et bien un phénomène de masse qui touche une part énorme de la population (on estime à 50 % le nombre de japonais qui lisent au moins un manga par semaine) et génère une importante activité économique. Il convient de savoir que les manga japonais sont moins chers qu'en Europe, leur prix avoisinant les 400 yens (2,50 euros en février 2008), alors qu'en France, le prix d'un manga se situe généralement entre 5,50 et 8 euros selon le format et les éditions.

Le manga, qui est publié dans les magazines de prépublication, est considéré au Japon comme un objet de grande consommation plutôt qu'un objet de valeur. Cependant, des éditions reliées et brochées à l'image de celles paraissant en Occident, sont destinées à être collectionnées et conservées.

L'énorme popularité des manga rivalise avec les grosses pointures de la bande dessinée européenne ; ainsi, les 42 tomes de dragon ball se sont vendus à plus de 250 millions d'exemplaires dans le monde, un chiffre qui surpasse celui enregistré par les aventures de tintin et milou avec 24 albums édités à plus de 200 millions d'exemplaires.


Histoire des mangas 

Mouvements culturels initiateurs.

Le manga, bien que très ancré dans la culture japonaise moderne, trouve ses origines dans la période Nara, avec l'apparition des premiers rouleaux peints japonais : les emakimono. Ceux-là associaient en effet des peintures à des textes calligraphiés qui assuraient, ensemble, le récit d'une histoire que l'on découvrait au fur et à mesure que se déroulait le rouleau. Le premier des emakimono, le inga kyo, était la copie d'une œuvre chinoise et marquait une nette séparation entre le texte et la peinture. Pourtant, dès le milieu du XIIe siécle, apparaissent les premiers emakimono de style japonais, dont le Genji monogatari emaki est le plus ancien représentant conservé. Ces derniers faisaient souvent intervenir de courts textes explicatifs après de longues scènes peintes. Cette priorité accordée à l'image – qui peut assurer seule la narration – est aujourd'hui une des caractéristiques les plus importantes du manga. De même, lors de la période Edo, les estampes étaient d'abord destinées à l'illustration de livres, mais, très vite, le rapport de force s'inversa et l'on vit l'apparition de « livres à regarder » en opposition avec les « livres à lire », avant la disparition totale d'écrits complémentaires et la naissance de l'estampe « indépendante » en une seule illustration : l'ukiyo-e. C'est d'ailleurs Katsushika hokusai '1760-1849), le fondateur de l'estampe de paysage, qui donna son nom au manga (littéralement « dessins grotesques »), nommant ainsi ses célèbres caricatures qu'il publia de 1814à 1834à nagoya. Enfin, et notamment dans le manga de type shojo, l'art nouveau occupe une place prépondérante parmi les influences des mangakas, tout en sachant que ce mouvement a été provoqué en partie par le japonisme  en Europe, suite à la découverte des estampes par les occidentaux.

Création des mangas

C'est le caricaturiste australien Frank A. Nankivell  qui travaille pour le Box of Curios, publié à Yokohama par E.B. Thorne, qui initie Yasuji Kitazawa, qui ne s'appelle pas encore Rakuten Kitazawa, à la caricature. En 1899, il quitte Box of Curios pour rejoindre le Jiji Shinpô créée par l'intellectuel yukichi Fukuzawa  désireux de développer le mode satirique au Japon. C'est Kitazawa qui reprend le terme de manga pour désigner ses dessins, il se désigne lui-même comme mangaka (dessinateur de mangas). Le premier manga considéré comme tel date de 1902. Il s'agit d'une histoire dessinée par Kitazawa dans les pages illustrées du supplément du dimanche du Jiji Shinpô. Kitazawa s'inspire beaucoup de la culture européenne, son premier manga reprend le thème de l'arroseur arrosé. Le supplément du Jiji Shinpô prend rapidement le nom de Jiji Manga.

En 1905, Kitazawa crée son premier magazine le Tokyo Puck en s'inspirant de l'américain Puck et du Rire français. Ce magazine en couleurs parait deux à trois fois par mois et contient des textes en japonais, chinois et anglais, des caricatures et un manga en six cases de Kitazawa. Plusieurs fois censuré pour ses caricatures féroces pour le pouvoir, il crée en 1912 deux nouveaux magazines Rakuten Puck et Katei Puck. Mais c'est en 1908 que Kitazawa innove dans la presse japonaise en publiant Furendo (Amis), un magazine en couleurs exclusivement réservé aux enfants. Devant le succès, il renouvelle l'expérience en 1914 en créant la revue Kodomo no tomo dans laquelle il dessine L'enfance de Toyotomi Hidéyoshi. Ce succès allait marquer le marché des mangas pour longtemps. En 1914 paraît Shônen Kurabu (Le club des garçons), en 1923 Shôjo Kurabu (Le club des filles) et en 1926 Yônen Kurabu (Le club des jeunes enfants). En 1929, Kitazawa entreprend un long voyage en Europe, en Afrique et aux Amériques. De passage à Paris en 1929, il expose en présence de Léonard Foujita et y reçoit la Légion d'honneur.

À la fin de l'ère Meiji, à l'époque Taisho (1912-1926),Ippei Okamoto dessine des mangas pour le quotidien Asahi Shimbun. Il est l'un des inspirateur du mouvement des « Nouveaux représentants progressistes du manga » qui introduit au Japon les comics, entre autres Bringing up Father (La famille Illico) de Geo Mc Namus parait dans Asahi Gurafu. Si à cette époque tous les mangas utilisent plus ou moins la bulle, il y a encore beaucoup de texte écrit dans les dessins. Le premier à généraliser l'emploi de la bulle est Katsuishi Kabashima qui dessine Les aventures de Shôchan accompagné de son écureuil (Shôchan no bôken) dans le premier numéro de Ashahi Gurafu en 1923.

C'est Okamoto qui invente le terme de manga kisha (journaliste de manga) et qui crée le « Tokyo manga kai » (Association des mangas de Tokyo) en 1915, qui devient en 1923 le « Nihon manga kai » (Association japonaise des mangas) et en 1942 le « Nihon manga hôkôkai » (Association des mangas du Japon) avec pour premier président Kitazawa.

La satire et la caricature sont féroces envers le pouvoir en place et, en 1925, le gouvernement établit une censure en promulguant une « Loi de préservation de la paix ». La presse japonaise devient « politiquement correcte » mais la publication de mangas se développe. Des magazines féminins comme Shufu no tomo (L'ami des ménagères) ou Fujin Kurabu (Le club des femmes) publient aussi des mangas à destination de leurs lectorats ou pour des mères de familles qui lisent ces mangas à leurs enfants.

À partir de la guerre sino-japonaise, et comme plus tard aux États-Unis ou en Italie, la presse, y compris les mangas, se met au service de l'état pour soutenir l'effort de guerre. Cela n'empêche pas le très antimilitariste Norakuro (Le chien noir) de Tagawa Suiho, le manga d'un chien paresseux engagé dans l'armée impériale. C'est comme cela que les japonais lisent aussi les aventures de Tarô, qui déjoue toutes sortes de conjurations étrangères, (Supîdo Tarô de Sakô Shishido) et celles de Dankichi dans Bōken Dankichi (Les aventures de Dankichi) de Shimada Keizo. Ce seront les séries les plus populaires au Japon jusqu'au milieu des années quarante pendant lesquelles toute la presse ainsi que toutes les activités culturelles et artistiques subissent la censure du gouvernement militaire, ce dernier n'hésitant pas à mobiliser ces milieux à des fins de propagande.

1990 : Akira, Glénat, et la naissance du manga en France

Suite au succès du film, Glénat décide de publier Akira, de Katsuhiro Otomo, en fascicules, à partir de mars 1990. Bien que la série n'ait pas de dessin animé pour la porter, le renouvellement massif des codes de la bande dessinée qu'introduit cette œuvre permet au succès d'être cette fois au rendez-vous, et l'édition cartonnée en couleur voit le jour dès la fin de l'année. Mangazone en profite pour devenir un prozine, tiré à 700 exemplaires. La qualité de la revue fait des émules : en 1990 naissent les fanzines Yamato et Protoculture addict. En décembre 1990, le premier volume de Gen d'Hiroshima fait l'objet d'une nouvelle édition chez Albin Michel, sous le titre erroné de Mourir pour le Japon. En 1991, alors que la suite d'Akira est publiée, Rêve d'enfants, autre série d'Otomo, est éditée en 1991 par Les Humanoïdes associés. À la fin de l'année, un premier tome de City Hunter est publié. Cependant, seul Akira trouve alors son public. En mai naît Animeland, fanzine luxueux qui remplace progressivement Mangazone comme référence francophone.

Alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour protester contre les dessins animés japonais, toujours plus présents dans les programmes jeunesse, Glénat, une fois Akira achevé, décide de tenter de nouvelles traductions, en publiant les bandes dessinées d'origine de dessins animés à succès : Dragon ball d'Akira Toriyama à partir de février 1993, Ranma 1/2 de Rumiko Takahashi en février 1994. La réussite de l'entreprise permet à Glénat de traduire d'autres bandes dessinées, parfois liées à un dessin animé, parfois non : Appleseed de Masamune Shirow à partir juin 1994, puis Orion du même auteur en septembre, Crying Freemande Ryoichi Ikegami en janvier 1995, Dr Slump de Toriyama en février, Gunnm de Yukito kishiro à partir de mars, Sailor moon de Naoko Takeuchi en novembre.

D'autres éditeurs traditionnels commencent à s'intéresser au manga. Casterman publie d'abord dans sa collection « Manga », créée en janvier 1995 deux bandes dessinées créées aux Japon par des auteurs français (Kiro d' Alex Varenne puis en septembre Au Nom de la famille de Jérôme charyn et Joe Staton ) avant de traduire coup sur coup en septembre Gon de Masashi Tanaka L'Habitant de l'infinid'Hhiroaki Samura, et L'Homme qui marche de Jiro Taniguchi, premier manga d'auteur publié en France. « Casterman manga » accueille de nouveaux titres de qualité jusqu'en 1999, avant d'être remplacée par des collections plus spécialisées par la suite.Dark Horse France publie outlanders de Johji Manabe  de janvier 1995 à janvier 1996. Dargaud se lance également en créant la collection Kana avec Angel Dick puis Armagedon de la coréenne Hyun Se Lee.

Des éditeurs spécialisés naissent également : Samouraï Editions, qui publie des bandes dessinées érotiques à partir de 1994 (Ogenki Clinic d' Inui Haruka) puis des mangas plus traditionnels l'année suivante (Vampire Miyu de Kakino Uchimaruri et Hirano Toshihiro), l'éphémère Star Comics en janvier 1995 avec Takeru de Buichi Terasawa Kraken en avril (avant de disparaître l'année suivante) avec l'ambitieux Shang Hai Kaijinzoku de Takuhito Kusanagi puis Les Élémentalistes de Tasheshi Okazaki ou encore Vaelber Saga deNobuteru Yuki.Tonkam, qui se lance en juin 1995 avec RG veda de CLAMP  devient le premier grand éditeur français spécialisé dans le manga. C'est également le premier à les publier dans le sens de lecture japonais, à la fois pour des raisons de coût et d'intégrité de l'œuvre, disposition qui devient rapidement la norme, sauf dans quelques cas particuliers (comme la collection « Écritures » de Casterman).




Lundi 29 septembre 2008 à 17:14


Lundi 29 septembre 2008 à 16:32

L'histoire commence quand Clad, mercenaire taciturne, rejoint le groupe éco-terroriste  AVALANCHE basé à Midgar, une vaste cité industrielle. Le groupe se compose entre autres de Tifa, une amie d'enfance de Clad et de Barret, leur imposant chef. AVALANCHE lutte contre la Shinra une multi-nationale qui produit de l'énergie Mako en prélevant l'énergie spirituelle de la Rivière de la vie des entrailles de la planète Gaïa.

AVALANCHE effectue un raid sur l'un des réacteurs Mako de la ville et le détruisent, mais lors d'une seconde attaque le groupe est piégé par la Shinra. Alors que le second réacteur explose, Clad est éjecté dans les vastes bidonvilles qui composent les niveaux inférieurs de Midgar. Là, il rencontre Aeris et accepte de la protéger des Turks, une unité spéciale de la Shinra qui a ordre de la capturer. Après l'avoir défendue de ses ravisseurs, Clad, guidé par Aeris, tente de rejoindre AVALANCHE. Ils retrouvent Tifa au Secteur 6 et apprennent que la Shinra a découvert l'emplacement de la cachette du groupe, et projette de faire s'effondrer le niveau supérieur du Secteur 7 sur les habitations en contrebas en faisant croire à un attentat d'AVALANCHE. Malgré les efforts du groupe pour les en empêcher, le secteur est détruit et une grande partie de ses habitants meurt. Par ailleurs, les Turks capturent Aeris, qui se révèle être le dernier membre vivant de la race des Cetras, des êtres mythiques étroitement liés à Gaïa. Le Président de la Shinra estime qu'Aeris peut le conduire à une mythique terre de fertilité connue sous le nom de « Terre promise », où il espère obtenir facilement de l'énergie Mako.

Tifa, Barret et Clad se rendent alors au siège de la Shinra et libèrent Aeris ainsi que Rouge XIII (une sorte de lion doué de parole) qui se joint au groupe. Mais tandis qu'ils s'échappent du bâtiment, ils trouvent les corps tailladés de nombreux employés ainsi que celui du Président Shinra. Un dirigeant épargné leur apprend que le coupable est un homme appelé Sephiroth auparavant considéré comme mort, et qu'il a emporté du centre de recherches le corps sans tête d'une créature nommée Jénova.



Ce qui suit dévoile des moments clés de l'intrigue.

AVALANCHE décide alors de poursuivre Sephiroth autour de la planète, craignant que ses intentions pour Gaïa ne soient pires que celles de la Shinra. De plus, Clad raconte au groupe ses souvenirs d'officier du SOLDAT (la milice de la Shinra) en compagnie de Sephiroth, prodige de la compagnie, lors d'une mission au réacteur Mako de Nibelheim. Sephiroth y découvre ses origines, mais ignorant tous les détails, arrive à la conclusion qu'il est un Cetra fabriqué à partir des cellules de Jénova. Rendu fou par sa découverte, il brûle la ville et décide de tuer tous les descendants de ceux qui avaient jadis abandonné les Cetras lors de la défense de la planète. Selon Clad, Sephiroth disparait ensuite dans des circonstances inconnues et est présumé mort jusqu'à sa réapparition dans le bâtiment Shinra. Pour ces raisons, il fait de la recherche de Sephiroth un enjeu personnel. Au cours de cette poursuite, plusieurs alliés se joignent au groupe : la marionnette Cait sith, le pilote Cid, le ténébreux Vincent, et Yuffie, une jeune ninja. Au cours du voyage, chaque membre du groupe fait face à des conflits personnels en rapport avec son passé.

Par la suite, le véritable plan de Sephiroth est peu à peu révélé : il prévoit d'invoquer un énorme Météore pour blesser la planète et l'inciter à rassembler son énergie spirituelle au point d'impact. Il compte ensuite entrer dans la fissure créée, et fusionner avec l'énergie de Gaïa, afin d'obtenir un pouvoir semblable aux dieux.  Pour l'en empêcher, AVALANCHE tente d'obtenir la Matéria Noire, nécessaire pour activer le Météore. Mais alors qu'il rejoint le groupe, et par un mystérieux pouvoir, Sephiroth force Clad à lui la donner. Ayant acquis une meilleure compréhension de ses pouvoirs et de son héritage, Aeris décide d'arrêter Sephiroth par ses propres moyens. Mais inquiet pour sa sécurité, AVALANCHE part à sa poursuite sur le continent nord, et la retrouve dans l'ancienne capitale des Cetras alors qu'elle est en train de prier pour la planète. Sephiroth, caché, tente une fois de plus de prendre le contrôle de l'esprit de Clad, et lui dicte de la tuer. Celui-ci résiste à l'emprise grâce à ses amis, mais Sephiroth apparaît en un éclair pour assassiner lui-même la jeune femme. Clad et le groupe décident alors qu'il leur faut vaincre Sephiroth à tout prix.



Plus tard, des enregistrements vidéo du professeur gast et d'Ifalma expliquent que Jénova est en réalité une creature extraterrestre arrivée sur la planéte il y a deux mille ans, via une météorites, et voulant détermine toute forme de vie pour se défendre, la planéte créa alors des monstres géants appeles armes. de nonbreuse centras furent tués, mais un petit groupe de survivants finits par vaicre Jénova, et à la confiner dans la fissure créée lors de son arrivée. La menace écartée, les Armes tombèrent alors dans un profond sommeil. Presque deux mille ans plus tard, les restes de Jénova sont mis à jour par le professeur Gast, un chercheur de la Shinra, qui croit découvrir un Cetra.

Lorsque AVALANCHE atteint le cratère antique, Sephiroth dit à Clad qu'il n'était pas à Nibelheim, et lui transmet des images d'un officier du SOLDAT qui lui ressemble fortement mais qui a les cheveux noirs. Celui-ci semble occuper la place de Clad dans sa mémoire. Il lui dit également qu'il a été créé par Hojo. Alors que Tifa ne peut réfuter les propos de Sephiroth, Clad est bouleversé. Sephiroth en profite pour lancer le Météore, entraînant alors le réveil des Armes. Pendant le tremblement de terre qui suit, Clad est séparé de ses compagnons et tombe dans les entrailles de la planète, porté par la Rivière de la vie. Alors que le Météore s'approche de la planète, la Shinra concentre ses efforts sur la protection des hommes face aux Armes, qui perçoivent les humains comme une menace pour Gaïa. AVALANCHE localise Clad sur une île tropicale. Empoisonné au Mako, il est dans un état catatonique. Une Arme arrive et déchire l'île en deux, faisant une nouvelle fois sombrer Clad et Tifa dans les méandres de la Rivière de la vie. Là, elle reconstruit la mémoire de Clad. Elle lui rappelle leurs souvenirs d'enfance et lui apprend la vérité sur son passé. Bien qu'il ait réellement combattu Sephiroth à Nibelheim lors de son attaque, il n'a jamais réussi à rejoindre le SOLDAT. Clad se rappelle alors que le personnage aux cheveux sombres auquel il s'identifiait était son meilleur ami Zack.Au cours de la destruction de Nibelheim, Tifa et Zack sont battus, mais Clad jette Sephiroth dans la Rivière de la vie. Celui-ci emporte pourtant avec lui la tête de Jénova, qui était stockée dans le réacteur, et survit : son corps et son esprit sont conservés dans le Mako, à l'intérieur du cratère de Jénova.

Alors que Tifa est ramenée en sécurité à Midgar, Clad et Zack, grièvement blessés, sont capturés par la Shinra pour étouffer l'affaire. Le Professeur Hojo les soumet à des expériences, visant à « améliorer » les membres du SOLDAT. Mais Hojo ne se préoccupe pas de la santé de ses sujets, et tous à part Zack entrent dans un état comateux. Près de cinq ans plus tard, Zack s'enfuit de son tortionnaire en emportant Clad avec lui. Mais l'injection des cellules de Jénova couplé à des douches de Mako induisent une confusion dans l'esprit de Clad. Il se construit inconsciemment une fausse identité autour du comportement et des souvenirs de Zack. Les cellules aliennes de son corps permettent également à Sephiroth de contrôler l'esprit de Clad. Après sa fuite, Zack est tué par des agents Shinra près de Midgar, et Tifa retrouve Clad peu avant le début du jeu.

Après avoir retrouvé son passé, Clad se reprend et rejoint AVALANCHE. Le groupe apprend qu'Aeris possédait une matéria connue sous le nom de Sacre, le seul sort capable de s'opposer au Météore. Jugeant la menace des Armes plus imminente que celle de Sephiroth, la Shinra et AVALANCHE les attaquent. La Shinra est quasiment détruite au cours des attaques. On apprend que Hojo est le père de Sephiroth, lui et son épouse ont été des adjoints du professeur gast, et ont soumis leur futur enfant à des test impliquant Jénova. Lorsque Hojo tente d'aider Sephiroth à contrôler la Rivière de la vie, AVALANCHE n'a pas d'autre choix que de le combattre et le tue. Le groupe se rend finalement au cratère nord et traverse le manteau de la planète jusqu'à son cœur, où ils affrontent Sephiroth dans le combat final.


L'ayant vaincu, ils libèrent Sacre, mais le Météore est alors trop près de surface de la planète, et le sort est impuissant. Midgar est déjà détruite lorsque la Rivière de la vie elle-même s'élève de Gaïa et repousse le Météore, permettant à Sacre de détruire l'invocation. Au cours de l'épilogue qui suit, les ruines de Midgar sont montrées cinq cents ans plus tard, le paysage autrefois désolé est désormais une terre de verdure.


Lundi 29 septembre 2008 à 15:37

Voila des jeux que j'adore ce sont les final fantasy, c'est trop cool, ont va commencer par le final fantasy 7,ma soeur adore celui la c'est sont préfèrer.

les personnage:

Gentille:


Clad Strife  (appelé Cloud Strife dans la version américaine ainsi que dans les productions suivantes) est le personnage principal du jeu, le joueur suit l'ensemble de ses actions et le dirige lors des déplacements du groupe à travers le monde. Mercenaire taciturne au début du jeu, il se présente comme un ex-SOLDAT de première classe. Il prend la tête du groupe d'aventuriers au fur et à mesure du récit.



Aeris Gainsborough
est une jeune marchande de fleurs vivant dans les taudis de Midgar, poursuivie depuis qu'elle est petite par la Shinra

Tifa Lockeart est une spécialiste en arts martiaux, amie d'enfance de Clad auquel elle est très attachée.




Barret Wallace est le chef impulsif de la seconde incarnation d'AVALANCHE, une organisation anti-Shinra.



Rouge XIII (ou Nanaki) est une sorte de fauve doué de parole, anciennement sujet d'expériences pour des scientifiques de la Shinra.


 Cait sith  est un chat diseur de bonne aventure, personnage à l'aspect loufoque, il chevauche en permanence un énorme Mog en peluche.




Cid Highwind est un pilote d'aéronef qui rêve d'être le premier homme à partir dans l'espace.



le sombre Vincent Valentine , ex-membre de l'unité spéciale des Turks qui a été tué et ramené à la vie en tant que sujet de recherche.




 Yuffie Kisaragi  une jeune voleuse originaire de Utai.






Les Méchants
:

Dans la première partie du jeu, le Président Shinra, puis son fils Rufussont les principaux antagonistes. Personnages avides et despotiques, ils contrôlent l'ensemble des activités de la compagnie. Les membres du groupe ont tous été victimes de la tyrannie de la Shinra par le passé ; certains en ont gardé de la désapprobation ou de la rancœur, voire de la haine pour les plus farouches, Barret notamment.

Au sein de la shinera, plusieurs directeurs de sections jouent un rôle important : Reeve tuesti est Chef du Développement Urbain, le professeur Hojo est Chef du Département des Sciences, Palmer est Chef de l'Exploration Spatiale, Scarlet, Chef du Développement et de la Recherche d'Armes et Heidegger est Chef du Département de Préservation de la Paix. Celui-ci est également le chef de l'unité spéciale des Turcks, dirigée par Tseng et composée D'Elena, de Rude, et de Reno.



Par la suite, un homme mystérieux du nom de Sephiroth fait son apparition et devient peu à peu l'antagoniste principal du jeu. Il apparaît bientôt comme une grande menace pour la planète, ce qui pousse AVALANCHE et la Shinra Company à le pourchasser. Ex-membre légendaire du SOLDAT, il est doté d'une force hors du commungrâce aux cellules de Jénova qui ont été implantées dans son corps. On le reconnaît facilement à son long manteau noir, ses cheveux gris et son immense Katana. Une partie de son esprit est contrôlée par Jénova, un organisme extra-terrestre qui essaie de prendre possession de la planète. Les scientifiques de la Shinra ont injecté ses cellules aliennes dans les corps de Sephiroth et Clad, ce qui permet à la créature d'avoir une forte influence sur leurs actions.



Jeudi 25 septembre 2008 à 13:32



Une tenu trop cool, c'est une tenu de tchii, enfin ça doit  être ça, mais elle est trop cool, j'aimerais pouvoir un jour participer a un cosplay, je commence tout juste a  apprendre à coudre, mais je suis sur que bientôt je pourrais me faire des super tenu de manga.

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